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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 10:50

On en a beaucoup entendu parler ces derniers temps -salon de la robotique innorobo à Lyon oblige- les robots déboulent dans notre quotidien.

qu'en est-il vraiment?

 Robot-Kompai-Robosoft.jpg

De plus en plus, partout...

Oui! c'est indéniable, les robots font de plus en plus partie de notre quotidien: une croissance annuelle soutenue, à 3 chiffres depuis plusieurs années, un chiffre d'affaire mondial de 20 milliards de dollars environ cette année et qui grimpera très vite à 100 milliards en 2020.

Robopolis, le leader de la distribution du secteur en France, revendique d'ailleurs un chiffre d'affaire de 50 millions d'euro cette année, en très forte croissance lui aussi.

A la tête de cette vénérable entreprise, un des hommes d'affaire les plus en vue de la place lyonnaise: bruno bonnel.

Ce visionnaire n'en n'est pas à son coup d'essai puisque dès les années 80, il fonde infogramme, précurseur dans le jeu vidéo, puis infonie, précurseur dans les fournisseurs d'accès internet.

Alors quand un personnage tel que lui se lance dans la robotique, le signe est fort! et il tire à lui seul une bonne partie de la médiatisation autour de cette industrie: il faut dire que le réseau et la puissance médiatique du personnage sont impressionnants.

on lui doit ainsi la création du salon de la robotique à Lyon, qui est en passe de devenir une référence en europe, et un livre "viva la robolution", où il explique sa vision des choses. On lui doit aussi très récemment la constitution d'un fond d'investissement robolution capital, doté de 60million d'euro et qui a pour but d'aider les entreprises jeunes et innovantes du secteur.

Il se murmure aussi que google aurait débloqué un fond de 100 million d'euro pour faire émerger des projets d'avenir parmi lesquels la robotique tientune bone place.

 

...mais encore jeune et en devenir

En effet, le gros de la croissance s'est fait sur les robots industriels à la fin du siècle dernier (usines,..) et est tiré aujourd'hui par la robotique domestique: robots aspirateurs, puis tondeuses et laveurs de vitre maintenant (80% du chiffre d'affaire de Robopolis).

images--1-.jpg

Les robots compagnons ou de service eux, sont encore un marché très très émergeant, limité à quelques milliers de pièces dans le monde.

qu'est-ce qui limite leur émergence aujourd'hui?

1- la technologie: la cobotique (coopération homme-robot) n'est encore qu'on doux rêve et la recherche si elle progrese vite part de très loin encore. 

2- le prix: peu de marché, peu de débouchés, peu de fabricants, pas de vraies solutions industrielles à grande échelle...et surtout une R&D hyper groumande! impossible aujoud'hui d'espérer faire des économies d'échelle sur ce point

3- la plupart des robots qui existent dans le monde...ne sont pas dédiés à la vente! cela peut paraitre aberrant mais c'est ainsi. Nombres de ces robots sont le fait de laboratoires de recherche -subventionnés- qui font avancer la science a fond perdu et sans aucune visée mercantile. La robotique un marché d'ingénieurs etpas de commerçants!

D'ailleurs, la plupart de ces robots s'ils devaient se vendre aujourd'hui couterait des centaines de milliers d'euro.

4- l'intelligence artificielle: tout le monde court après mais elle reste toujours un mythe. Mythe d'autant plus désolant que dans d'autres secteurs, certains pan de cette intelligence sont déjà tombés, j'en veux pour preuve la reconnaissance vocale sur les smartphones. d'aucun objecteront que cette reconnaissance vocale existe aussi sur certains modèles mais il sont très loin d'être performants.

 

Le marché

Evidemment; ce marché est dominé par les corréens et les japonais!Evidemment, les chinois arrivent.

Mais l'europe est loin d'être en reste: 10 000 chercheurs dans 200 instituts, 700 million d'euros de fond européen et à ce petit jeu, l'Allemagne, l'Italie et la grande bretagne montrent le chemlin devant la France et la Suède.

Par contre, en terme d'entreprises la france est sur-représentée: Aldébaran(NAO), robopec (REETi) Gostai (JAzz)... en sont les têtes de pont.

 

Les débouchés: l'asie bien sûr mais aussi les BRIC (brésil, russie, inde et chine).

images-copie-6.jpg

On peut très schématiquement scinder le marché actuel du robot compagnon en 4 catégories:

1- les jouets: le dinosaure pleo en tête (400€ la bête quand même)

2- les interfaces de communication: aisoy, lapin karotz (nabastag) environ 150€...assez limitées

3- les robots de présence et communication: jazz, NAO, reeti (tiens trois français!), papero, gilberto, Reem

 

conclusion:

Comme tous les marchés émergeants, il faut être présent maintenant car plus le temps passe, plus le coût du ticket d'entrée technologique sera élevé. Mais il est certain qu'il n'y a pas encore de marché réel, notamment car les applications suffisemment intéressantes en terme d'utilisation ne sont pas légions et que la barrière du prix n'est pas encore tombée.

Les entreprises qui tirent leur épingle du jeu en ce moment sont très largement subventionnées ou concourrent à un phénomène de croissance qui fait étrangement penser à la bulle internet d'il y a 10 ans.

Nous en sommes donc à un point que nous avons déjà connu sur bien des équipements technologiques (qui se souvient aujourd'hui que les écrans plasma coutaient 10000e à une époque?).

La robotique, c'est donc un pari (notamment pour les étudiants qui choisissent cette branche): les débouchés sont certains à terme mais il va falloir être patient.

Une croissance de l'utilisation du robot au cours des cinq prochaines années pourrait entraîner la création de 700.000 à un million de nouveaux emplois dans le monde entier. En supplémentaire au million d'emplois devraient être créés directement par l'utilisation accrue de la robotique. 


Cette prévision va de pair avec la vision de Bill Gates en 2007, « un robot dans chaque foyer ».

Quels effets et implications de cette connectivité extrême dans notre quotidien ? Seul l’avenir nous le dira, mais la robolution (B. bonnel) est en marche!

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 22:12
Avec son projet WikiCells, un professeur de Harvard entend bien résoudre les problèmes des déchets de plastique en rendant mangeable et même gustatif le packaging du futur.

telechargement-copie-1.jpg

C'est e même homme qui a inventé "le Whif" (du chocolat que l’on peut inhaler), le Whaf (générateur de saveur)  et l’Aeroshot (un pulvérisateur de caféine)- le fruit d’aujourd’hui constitue le packaging de demain. Inspiré par l’emballage naturel de Dame nature et la première bouteille comestible au monde qu’il a conçue il y a quelques années, David Edwards lance WikiCells.

 

Sa nouvelle technologie est censée mettre fin aux emballages plastiques. Et évidemment à tous les soucis de déchets allant avec.

 

Le concept révolutionnaire et pour le moins génial développé par le docteur Edwards consiste à envelopper les mets d’une texture uniquement composée des produits naturels comme un fruit ou un légume. WikiCells proposerait par exemple un gaspacho dans une tomate, un jus d’orange dans une orange.

 

Pour abriter un produit comme du yaourt, l’enveloppe molle et fruitée emplie de particules peut être entourée d’une coquille faite de chocolat, d’algue ou de sucre d’orge. Quid de l’hygiène d’un tel emballage? De la même manière que vous lavez un fruit avant de le manger, vous rincerez le WikiCells avant de le mettre en bouche.

 

David Edwards prévoit de lancer sur le marché son innovation en mai prochain. Il espère à terme concevoir une machine de production WikiCell destinée à être vendue aux restaurants, mais également aux villages et villes des pays en voie de développement désireux de rentabiliser leurs propres productions agricoles.

 

Un projet bien dans la tendance  "je veux essayer de consommer plus juste, pour contribuer à l'amélioration du monde dans lequel je vis".

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 15:05

On ne le dit pas assez, le marketing c'est être à l'écoute du client et nottamment de ses problèmes.

Opel l'a bien compris et redonne une nouvelle vie à sa Meriva...et aux familles!

 

 

Lancée en 2010 dans un contexte morose, la voiture familiale du fabricant allemand avait besoin de créativité pour redéfinir une identité marketing mal promue et gonfler des ventes en berne.

La campagne «Nanny on Board» a carrément dépassé les objectifs fixés par Opel avec un modèle de campagne interactive!

 

Voyager avec ses enfants, ne pas seulement les transporter et ainsi repositionner la Meriva comme le véhicule ''family-friendly'' par excellence. Pour que disparaissent les sempiternels «quand est-ce qu’on arrive» des enfants fatigués et lassés sur les sièges arrières,...

 

L’équipe a travaillé avec des puériculteurs pour réaliser sous forme de DVD un manuel «Voyager avec les enfants», et des b-roll ont été envoyés aux médias TV et Internet pour mettre avant la sagesse de la «Meriva Nanny», solution aux problèmes des longues journées de voiture sur la route des vacances. Une page Facebook , réservée aux parents a également été conçue, leur permettant d’interagir avec la marque et de poser des questions sur les enfants en voiture.

 

 

 

 

La veille du 15 juillet, décrété  «Opération Vacances» au royaume ibère, la campagne a été lancée dans les jardins du Palacio Fortuny, en plein coeur de Madrid, transformé pour l’occasion en espace de jeux pour enfants. En présence de la puéricultrice vedette de la télévision espagnole et du porte-parole d’Opel, « Nanny on Board » a distillé à 50 journalistes triés sur le volet des solutions simples et ludiques aux journées familiales en voiture.

 

Des terrains de jeux avaient également été installés chez certains concessionnaires de la marque à travers le pays. Les acheteurs potentiels se voyaient alors offrir la possibilité sur concours de gagner les services d’une vraie nounou pour un an. Enfin, pendant six week-ends jusqu’à l’automne, le «Nanny on Board Tour» s’est installé, avec une équipe de nourrices, dans les parcs d’attraction du pays.

 

Le résultat de ce dispositif créatif et interactif ne s’est pas fait attendre. La campagne a été relayée dans toutes les grandes chaînes et la presse généraliste nationale, avec 102 clippings au total. Surtout, entre juillet et septembre 2010, la fréquentation des concessionnaires Opel a augmenté de 144% avec en prime des ventes en hausse. Dans la même période, le marché chutait de 32%. Le genre de chiffre qui illustre à lui seul une campagne.

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 16:05

Les pouvoirs du don

Une petite citation d'évangile pour un monde -le commerce- qui n'est pas pourtant ce lui d'enfants
de choeurs!
Oui mais voilà, le marketing sert aussi parfois les bonnes causes!
Illustration aux pays bas avec ce petite dispositif mignon, malin et qui répond à la question:
 "mon argent sera-t-il réellement redistribué"?

Depuis plus de 50 ans, 
Misereor 
lutte contre la pauvreté en Afrique, Asie, Amérique latine et Océanie
et aide sans distinction les gens dans le besoin, quel que soient leur religion, leur couleur de peau
ou leur sexe.
L’organisme lance un appel au don de deux euros. Ce don permet de scolariser des enfants,
d’apporter des soins… 
 « Mit 2 € viel bewegen» (avec 2 euros beaucoup de mouvement). 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 13:57

Adieu au slip kangourou, bonjour la clim!


BGH, les climatiseurs, vous vous souvenez??
Descendez un peu dans cette page et retrouver l'article 'ils ont du nez ces argentins".
eh bien la marque remet ça avec un spot TV pas piqué des vers.
Lors des canicules (et elles peuvent être très fortes en argentine!)  il en est certains qui se laissent aller à un exhibitionnisme de très mauvais goût, errant de pièces en pièces en slip kangourou à la recherche d’un peu de fraicheur.

Nous pensions ce phénomène disparu depuis la fameuse saga Abracarambar et son fameux maître-nageur en string léopard, il se pourrait cependant que quelques phénomènes subsistent en Argentine…

L’atmosphère lourde qui oscille entre le dégoût et le drame familial est portée par Mozart et un volet de son requiem « Dies Irae ».  

Seul moyen de les rhabiller, leur offrir un système de conditionnement d'air de la marque BGH. Très drôle.

 

 


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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 13:10

La marque à la virgule a présenté ses nouvelles chaussures de course et de basketball, Nike+, qui sortiront cet été aux États-Unis. Connectées aux smartphones, elles permettront aux sportifs d'évaluer leurs performances via une appli.

Cet été aux États-Unis, Nike sortira des baskets d'un nouveau genre. La marque américaine innove avec Nike+ Training (pour la course à pied) et Nike+ Basketball (adaptées aux amateurs du ballon orange) : deschaussures connectées aux mobiles
Le principe ? Grâce à une application dédiée, les sportifs pourront évaluer leurs performances et les comparer avec leurs amis…

La marque publie progressivement des renseignements au sujet de Nike+ sur sa page Facebook, sur son compte Twitter et sur son site Internet.

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 13:10

Encore et toujours ces argentins à la baguette!

Pour la bière Andes cette fois-ci!

tout est dans la vidéo ci-dessous mais le concept est assez bon:une opération de street marketing savament relayée sur la toile....et le tour est joué!

 

Le concept? si vous pensez que vos amis vont s'ennuyer lors d'un évènement particulier (mariage, fête de famille...) organisez leur enlèvement pour qu'ils vous rejoingnent déguster une bonne bière!

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 09:41

On parle beaucoup en ces temps de crise de la nécessité d'innover! oui mais on se rend compte que parfois l'innovation n'est pas bonne à commercialiser...sous peine d'être la cause de la fin de son business model !

Après le paradoxe du pharmacien, celui des industriels.
Nous ne le savons peut-être pas tous, mais nombres de brevets, d'inventions, de produits dorment dans des cartons, parfois rémunérés à coup de millions pour ne surtout jamais sortir.
Pourquoi ?
La réponse est simple: pour ne pas se tirer une balle dans le pied, tuer un business qui nous fait vivre, qui parfois est au coeur de notre métier.
Exemples:
- Mesdames, vous rêvez toutes d'un collant qui ne file pas, qui ne casse pas.... Il existe! La fibre incassable et infilable a été inventée il y a déjà plusieurs années, presque au tout début de l'invention des collants.
Mais quid du business model alors des DIM, WELL et autres si une fois un collant vendu, il l'était à vie?

- Le pneu increvable et inusable: quelle serait la raison d'être de Michelin ?
C'est pourquoi, il faut savoir pour toute entreprise innovante, distiller ses inventions et innovations, savante alchimie entre ce qui va booster mon business et ce qui va le tuer.
Évidemment, certaines marques n'ont pas ce genre de problème, tant ils ont de brand advocate derrière eux: Apple bien sûr et globalement tout le domaine de l'électronique grand public mais aussi le sport....

On peut ici distinguer 3 catégories:
1- Ceux qui apportent un vrai plus, une innovation: le verre incassable (ou inrayable, ou anti-reflets...) pour les lunettes, la clim pour la voiture....
L'image de la marque dans ces cas est renforcée, avec une empreinte de leader sur son marché, d'entreprise innovante, à la pointe...
2- Ceux qui créent le besoin: Nespresso, Iphone,...les exemples sont légions ces dernières années.
On est souvent dans le luxe technologique ou tout du moins le confort superflux, avec souvent une nuée de précurseurs accros qui se ruent sur le produit dès qu'il sort avant de le jeter ou le laisser de coté qq mois plus tard pour se jeter sur la nouvelle nouveauté.
3-
 Ceux qui n'apportent rien mais par leur seule image ont leurs suiveurs: on retrouve ici toutes les marques de cosmétiques et de prêt-à-porter du luxe (les DIOR, DG, CC et autres...). C'est dans cette catégorie que l'on retrouve les collectionneurs.
Pour tous les directeurs marketing et R&D de ces entreprises, à la vitesse où sortent les brevets, les innovations, les inventions...et face à cela, les besoins des consommateurs, leurs attentes, et la nécéssité de les satisfaire ou de les surprendre, de sérieux casse-tête sont à prévoir!

Surtout si on prend en compte la courbe de vie du produit

4_1_480.gif

On pourra dans un premier temps exiger un prix élevé mais après, peut-être pas. Ceci lié à un déclin des volumes, et c'est la clé sous la porte assurée ! 
Entre l'envie et le besoin d'innover, de prendre de l'avance sur son concurrent, de rendre le coût du ticket d'entrée sur un marché élevé, et les nécessités de pérennité de l'entreprise si on sort le produit qui va la tuer, le curseur est subtil à manier.

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 20:50

j'ai déjà récemment signalé que les créatifs argentins étaient pour moi ce qui se fait de mieux sur la planète en ce moment. Et cela fait déjà pas mal de temps que cela dure, depuis cette fameuse pub présentée en France par Christian Blachas pour la clio, intitulée "get up":

http://www.dailymotion.com/video/x1f543_renault-clio-pub-get-up_auto

 

en vous promenant sur ce blog, vous trouverez d'autres exemples pkus récents de ce qui se fait à Buenos Aires (pepsi...).

Et là, nos amis portenos frrappent encore plus fort!

actu_2365_image.jpg

alors de quoi s'agit-il?

De vendre des climatiseurs avec 5 filtres!! pas facile pour intéresser le monde?

Que nenni!

BGH, puisque c'est d'eux dont il s'agit, a imaginé une opération totalement loufoque mais très intéressante car avec des retombées extraordinaires. Ou comment soigner image et notoriété en plus de ses ventes.

Alors alors me direz vous, qu'ont ils fait?

simplement de se dire que les personnes qui ont le plus besoin de ces climatiseurs sont ceux qui ont un grand nez.

Si voter tarin est suffisemment long donc, vous bénéficiez de -25%!!

Reste à savoir comment déterminer si on a le nez long ou pas! simplissime, en créant le nez-o-mètre,  la réponse dans ce petit film!

Du street, du web et des vidéos marketing: un régal!!!

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 10:34

En  grande difficultés avec ses derniers ultrabooks, la marque archi-reconnue notamment pour son jingle sonore


 

a tenté le tout pour le tout à Los angeles avec une opération de street marketing pour le moins originale.

de là à redresser les ventes?

Le principe, une soixantaine de personnes équipées du précieux ultrabook se déplace en ville et interagit avec les passants, illustrant par là-même une journée dans la ville des anges.

C'est amusant, bien pensé, et susceptible de faire le buzz.

Mais il y a comme un je ne sais quoi dont on sent que cela ne va pas fonctionner.

A voir sur les ventes

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